BIO Mary Nash Stoddard on Twitter

PRESENTING: MARY NASH STODDARD - Co-Founder of the massive international anti-aspartame movement in the mid 1980's, following the brain tumor death of her forty two year old husband, Mike. Ms. Stoddard suffered a life threatening aspartame-related blood disorder in 1985, whereupon, The NutraSweet Co. offered her an all-expense paid vacation for two anywhere in the world, if she would agree to be tested by their doctors. She declined, with the blessing of her doctor, and the rest is history. She has conducted multi-national lecture tours and is a popular visiting professor at colleges, universities and medical schools. "Deadly Deception - Story of Aspartame" is a toxicology sourcebook, edited by Ms. Stoddard, documenting the harmful effects of the world's most toxic artificial sweetener. The companion one hour "Deadly Deception" video is further documentation - taped at a prestigious scientific conference. Stoddard's efforts, over more than two decades, led to the present rejection of the sweetener by many of the food and beverage giants of industry, as they rush to distance themselves from the liabilities associated with use of a neuro-toxic substance in their products. She has testified in court as an Expert Medical Witness and like her counterpart, Erin Brokovitch, helped with a number of lawsuits on behalf of consumers. Her powerful message has reached millions around the world through the airwaves on radio and television, in print and through popular personal appearances. Honors, Awards, Societies: • Expert Medical Witness [1992-present] * Guest Presenter Gulf War Veterans Annual Conference - [Las Vegas 1999] * Visiting Professor: U. T. Southwestern Medical School [1997] * Visiting Professor: American University School of Journalism [1999] * Visiting Professor: University of North Texas at Denton Dept. of Science [1990 and 2005] • Visiting Professor: University of Houston Bioneers Conference [2006] * Invited speaker: Hebrew Univ. Jerusalem - [1997] * Keynote speech: Mexican Government's Annual Conference on Sweeteners [1999] * Appointed Judge - State of Texas [1977-1984] * Broadcast Journalist - [1965-present] * President's Council on Food Safety - [1998-1999] * International Lecture Tours - [1996-present] * Testimony Senate Committee Hearing on Safety of Aspartame - Washington [1987] * Panelist at National News Conference Announcing Dr. John Olney's Brain Tumor/Aspartame Connection - Washington D.C. [1998] * Inducted Member Texas Radio Hall of Fame [2002-present] Representative of the Texas Rice Growers Association [Miss Rice] Board member: Irving Symphony Orchestra Board Member: Irving Community Theater Founding Board Member Radio Station KNON [public radio], Dallas Charter member City of Dallas Citizens Safety Committee Board Member Dallas Mayor’s Fee Task Force Vice President Operation Get Involved, [liaison committee of the D.P.D.] Board member Dallas Homeowners League President Save Open Space Texas Steering Committee Presidential Election Award for Public Service - Mexican Government State of Texas Board of Adjustment

Friday, May 24, 2013

ASPARTAME FACT SHEET INFO (FRENCH LANGUAGE VERSION)

lisez bien les étiquettes et et ne pas tomber dans le piège du sucre aspartame qui leurre le cerveaux et qui peut le détruire à petit feu. voici les preuvent de scientifiques qui lutte contre


Dossier Édulcorants de Synthèse ]
L'amère vérité sur l'Aspartame

IMdb for Mary Nash Stoddard in Film Documentary aired in Paris recently: http://www.imdb.com/title/tt1825841/


Les substituts au sucre à l'Aspartame causent des symptômes préoccupants allant de pertes de mémoire jusqu'à des tumeurs au cerveau. Mais malgré l'approbation de l'US FDA (Federal Drug Administration) le plaçant au tableau des additifs nutritionnels "sûrs", l'aspartame est l'une des substances les plus dangereuses jamais imposées à un public sans défiance.

Ce texte a été traduit par Pierre-Marie COEDES.

Aspartame est le mot technique pour les marques portant le nom de NutraSweet, Canderel, Equal, Spoonful et Equal-Measure. L'Aspartame fut découvert accidentellement en 1965, lorsque James Schattler, un chimiste de G.D. Searle Company, était en train de tester un médicament antiulcère. L'Aspartame fut autorisé pour les aliments secs en 1981 et pour les breuvages gazeux en 1983. Il fut originellement approuvé pour les aliments secs le 26 juillet 1974, mais des objections émises par le Dr John W. Olney, chercheur en science neurologique, et par l'Avocat général à la consommation James Turner en août 1974, de même que des enquêtes sur les pratiques de recherche de G.D. Searle amenèrent la US Food and Drug Administration (FDA) à retarder son approbation de l'aspartame (5 décembre 1974). En 1985, Monsanto a acquis G.D. Searle et sépara Searle Pharmaceuticals et The NutraSweet Company en filiales distinctes.

L'Aspartame est, de loin, la substance la plus dangereuse sur le marché à être ajoutée aux aliments. L'Aspartame est tenu pour coupable de plus de 75% des réactions défavorables aux additifs alimentaires dont il a été fait état auprès de la US Food and Drug Administration (FDA). Bon nombre de ces réactions sont très sérieuses, y compris des attaques et la mort ainsi qu'il en a été fait récemment état dans un rapport de février 1994 du Department of Health and Human Services. (1) Quelques uns des 90 symptômes documentés et listés dans le rapport comme étant causés par l'aspartame incluent :
Maux de tête/migraines, étourdissements, apoplexies, nausées, engourdissements, spasmes musculaires, gains de poids, irritations cutanées, dépression, fatigue, irritabilité, tachycardie, insomnie, problèmes visuels, perte d'audition, palpitations cardiaques, difficultés respiratoires, crises d'anxiété, difficultés d'élocution, perte du goût, goût de fer, vertige, perte de mémoire et douleurs articulaires.

Selon les chercheurs et les physiciens étudiant les effets indésirables de l'aspartame, les maladies chroniques suivantes peuvent être déclenchées ou aggravées par l'ingestion d'aspartame: (2)
tumeurs au cerveau, scléroses multiples, épilepsie, syndrome de fatigue chronique, maladie de Parkinson, maladie d'Alzheimer, retard mental, lymphome, malformations prénatales, fibromalgie et diabètes.

L'Aspartame est composé de trois produits chimiques : l'acide aspartique, la phénylalanine et le méthanol. Le livre "Prescription for Nutritional Healing" de James et Phyllis Balch, range l'aspartame dans la catégorie des "poisons chimiques". Comme vous allez le voir, c'est exactement ce qu'il est.

L'ACIDE ASPARTIQUE (40% DE L'ASPARTAME)
Le Dr Russell L. Blaylock, professeur en neurochirurgie à la Medical University of Mississippi, a récemment publié un ouvrage détaillant in extenso les dommages causés par l'ingestion excessive d'acide aspartique issu de l'aspartame. [Quatre vingt dix neuf pour cent du glutamate de monosodium 9MSG est de l'acide glutamique. Les dommages qu'il cause sont également documentés dans le livre de Blaylock.] Blaylock fait mention de près de 500 références scientifiques afin de démontrer comment un excès d'acides aminés libres excitateurs tels que l'acide aspartique et l'acide glutamique dans notre alimentation sont cause de sérieux désordres neurologiques chroniques et d'une myriade d'autres symptômes aigus. (3)

RÉSUMÉ DE LA FAÇON DONT L'ASPARTAME (ET LE GLUTAMATE) CAUSE DES DOMMAGES
L'aspartame et le glutamate agissent comme neurotransmetteurs dans le cerveau en facilitant la transmission de l'information entre les neurones. Trop d'aspartame ou de glutamate dans le cerveau détruit certains neurones en autorisant l'invasion excessive de calcium dans les cellules. Cette invasion déclenche des taux excessifs de radicaux libres qui tuent les cellules. La perte en cellules nerveuses qui peut être causée par le glutamate et l'aspartame en excès est la raison pour laquelle on les appelle "excitotoxines". Ils "excitent" ou stimulent la mort des cellules nerveuses.

L'acide aspartique est un acide aminé. Pris sous sa forme libre (non relié aux protéines), il élève d'une façon significative le niveau de plasma sanguin en aspartame et glutamate. L'excès d'aspartame et de glutamate dans le plasma sanguin, peu après l'ingestion d'aspartame ou de produits contenant de l'acide glutamique libre (précurseurs du glutamate), provoque une élévation du niveau de ces neurotransmetteurs dans certaines zones du cerveau.

La barrière sanguine du cerveau (Blood Brain Barrier [BBB]) qui normalement protège le cerveau d'un excès de glutamate ou d'aspartame, aussi bien que de toxines, 1) n'est pas complètement développée pendant l'enfance, 2) ne protège pas complètement toutes les régions du cerveau, 3) est endommagée par un nombre de conditions chroniques et aiguës et 4) permet l'infiltration d'un excès de glutamate et d'aspartame dans le cerveau, même lorsqu'elle est intacte.

L'excès de glutamate et d'aspartame commence lentement à détruire les neurones. La grande majorité (75%+) des cellules nerveuses d'une zone particulière du cerveau sont tuées avant même que les symptômes cliniques d'une maladie chronique ne soient décelés. Quelques unes des nombreuses maladies chroniques dont il a été démontré qu'elles sont causées par une exposition à long terme au dommage des excitotoxines comprennent :
Des scléroses multiples (MS), ALS, perte de mémoire, problème hormonaux, perte d'audition, crises d'épilepsie, maladie d'Alzheimer, maladie de Parkinson, hypoglycémie, démence du Sida, lésions du cerveau et désordres neuroendocrinaux.

Les risques encourus par les nourrissons, enfants, femmes enceintes, personnes âgées et les personnes avec des problèmes de santé chroniques causés par les excitotoxines sont grands. Même la Federation of American Societies For Experimental Biology (FASEB), qui minimise habituellement les problèmes et se conforme à la ligne de conduite de la FDA, a déclaré récemment "qu'il était prudent d'éviter l'utilisation de suppléments diététiques d'acide L-glutamique chez les femmes enceintes, les nourrissons et les enfants. L'existence d'une évidence d'effets secondaires potentiels endocrinaux, tels qu'une prolactine et une cortisolie élevée et des réponses différentielles entre hommes et femmes, suggéreraient également un lien neuroendocrinal et qu'un supplément d'acide L-glutamique devrait être évité par les femmes en âge de procréer et les individus atteints de désordres affectifs." (4) L'acide aspartique de l'aspartame possède les même effets délétères sur le corps que l'acide glutamique.

Le mécanisme exact des réactions aiguës à l'excès du glutamate et de l'aspartame libre est actuellement débattu. Ainsi qu'il en est fait état par la FDA, ces réactions incluent: (5) Maux de tête/migraines, nausées, douleurs abdominales, fatigue (bloque l'entrée suffisante de glucose dans le cerveau), problèmes du sommeil, problème de vision, attaque d'anxiété, dépression et asthme/oppression respiratoire.

Une des plaintes commune chez les personnes souffrant des effets de l'aspartame est la perte de mémoire. Ironiquement, en 1987, G.D.Searle, le fabricant de l'aspartame, entreprit une recherche sur un médicament pouvant combattre les pertes de mémoire causées par les dommages dus aux acides aminés excitotoxiques. Blaylock est l'un des nombreux scientifiques et physiciens intéressés par les dommages causés par les excitotoxines dus à l'ingestion d'aspartame et de MSG. Quelques uns des nombreux experts qui se sont manifestés contre les dommages causés par l'aspartame et le glutamate incluent Adrienne Samuels, Ph.D., psychologue expérimental, spécialisée en recherche conceptuelle. De même, Olney, professeur dans le département de psychiatrie, School of Medecine, Washington University, neuroscientifique et chercheur et l'une des autorités les plus représentatives en matière d'excitotoxines. (Il informa Searle en 1971 que l'acide aspartique causait des trous dans le cerveau des souris). Également, Francis J. Waickman, Docteur en médecine, à qui a été attribué le Rinkel and Forman Awards et diplômé par le Conseil en pédiatrie, allergies et immunologie.

D'autres scientifiques concernés sont : John R. Hain, Docteur en médecine, Diplômé par le Conseil en pathologie de médecine légale et H.J. Roberts, M.D., FACP, FCCP, spécialiste du diabète et sélectionné par une publication médicale nationale comme "Le meilleur docteur aux États-Unis".

De même, John Samuels est concerné. Il compila une liste de recherches scientifiques suffisante pour montrer les dangers de l'ingestion excessive d'acide aspartique et glutamique libre. Et il y en a d'autres encore, nombreux, qui peuvent être ajoutés à cette longue liste.

PHÉNYLALANINE (50% DE L'ASPARTAME) La phénylalanine est un acide aminé qui est normalement présent dans le cerveau. Les personnes souffrant du désordre génétique, phenylketonuria (PKU), ne peuvent pas métaboliser la phénylalanine. Ceci conduit à des hauts niveaux dangereux de phénylalanine dans le cerveau (parfois mortels). Il a été démontré que l'ingestion d'aspartame, particulièrement avec des hydrates de carbones, peut provoquer des niveaux excessifs de phénylalanine dans le cerveau, même chez des personnes ne souffrant pas de PKU. Ceci n'est pas une simple théorie, car de nombreuses personnes ayant mangé de grandes quantités d'aspartame au cours d'une longue période de temps et ne souffrant pas de PKU, ont été reconnues possédant des niveaux excessifs de phénylalanine dans le sang. Des niveaux excessifs de phénylalanine dans le cerveau peuvent amener une décroissance du niveau de sératonine dans le cerveau, conduisant à des désordres émotionnels telle que la dépression. Il a été démontré au cours de tests sur l'homme que les niveaux de phénylalanine dans le sang étaient accrus d'une façon significative chez les sujets humains ayant utilisé chroniquement l'aspartame. (6) Même une seule prise d'aspartame fait monter les niveaux de phénylalanine. Dans son témoignage devant le Congrès américain, le Dr Louis J. Elsas démontra qu'une haute teneur en phénylalanine dans le sang peut se concentrer dans des parties du cerveau et est particulièrement dangereuse pour les nourrissons et les f¦tus. Il a également démontré que la phénylalanine est métabolisée bien plus efficacement par les rongeurs que par les humains. (7)

La prise en compte d'un cas de niveaux de phénylalanine extrêmement élevés provoqués par l'aspartame a été publiée récemment par le "Wednesday Journal" dans un article intitulé "An Aspartame Nightmare" (un cauchemar à l'aspartame). John Cook commença par boire 6 à 8 boissons light par jour. Ces symptômes débutèrent par des pertes de mémoire et de fréquents maux de tête. Il continua par développer un besoin accru de boissons édulcorées à l'aspartame. Sa condition physique se détériora tellement qu'il connu des changements d'humeur importants et de violentes colères. Alors même qu'il ne souffrait pas de PKU, un examen sanguin révéla un niveau de phénylalanine de 80 mg/dl. Il dévoila également une fonction cérébrale anormale et une détérioration du cerveau. Après s'être libéré de sa pratique de l'aspartame, ses symptômes se sont améliorés radicalement.(8)

Ainsi que Blaylock le souligne dans son ouvrage, les premières études mesurant l'accumulation de phénylalanine dans le cerveau étaient défectueuses. Les chercheurs qui la mesurèrent dans des régions spécifiques du cerveau et non la moyenne dans tout le cerveau notèrent des hausses significatives des niveaux de phénylalanine. Spécifiquement, les régions de l'hypothalamus, medulla oblongata et corpus striatum du cerveau avaient l'accroissement le plus important en phénylalanine. Blaylock poursuit en soulignant que l'accroissement excessif de phénylalanine dans le cerveau peut causer de la schizophrénie ou rendre les personnes susceptibles de souffrir d'une attaque d'apoplexie.

Ainsi, une utilisation excessive, à long terme, de l'aspartame peut mener à une accélération des ventes des inhibiteurs à la sératonine tel que le Prozac et des médicaments pour contrôler la schizophrénie et les attaques.

MÉTHANOL (ALCOOL DE BOIS D'AKA/POISON) (10% DE L'ASPARTAME) Le Méthanol/alcool de bois est un poison mortel. Certaines personnes peuvent se rappeler du méthanol comme étant le poison qui a été à l'origine de la perte de la vue, ou de la mort, de certains alcooliques "risque-tout". Le méthanol est graduellement libéré dans l'intestin grêle lorsque l'aspartame du groupe méthyle rencontre l'enzyme chymotryspine.

L'absorption du méthanol par l'organisme est accélérée considérablement lorsque du méthanol libre est ingéré. Le méthanol libre est créé à partir de l'aspartame lorsqu'il est chauffé au-dessus de 30° centigrade. Ceci s'opère lorsque le produit contenant de l'aspartame est incorrectement stocké ou lorsqu'il est chauffé (par exemple, comme composant d'un produit "alimentaire" tel que le Jello).
Le méthanol se décompose dans le corps en acide formique et en formaldéhyde. Le formaldéhyde est une neurotoxine mortelle. Une évaluation du méthanol établie par l'EPA déclare que le méthanol "est considéré comme poison cumulatif compte tenu de la faible proportion qui en est éliminée une fois qu'il est absorbé. Dans l'organisme, le méthanol s'oxyde en formaldéhyde et en acide formique; chacun de ces deux métabolites sont toxiques." Il est recommandé une limite de consommation de 7.8 mg/jour. Un litre de boisson édulcorée à l'aspartame contient environ 56 mg de méthanol. Les gros utilisateurs de produits contenant de l'aspartame consomment jusqu'à 250 mg de méthanol quotidiennement ou 32 fois la limite fixée par l'EPA. (9)

Les symptômes d'un empoisonnement au méthanol sont des maux de tête, bourdonnement d'oreilles, dérangements gastro-intestinaux, faiblesse, vertige, frissons, trous de mémoire, engourdissement et douleurs fulgurantes des extrémités, troubles du comportement et névrite. Les problèmes les plus connus d'un empoisonnement au méthanol sont les problèmes de la vue comprenant vision embrumée, rétrécissement progressif du champ visuel, vision voilée, vision obscurcie, dommages rétiniens et perte de la vue. Le formaldéhyde est un cancérigène connu, il cause des dommages à la rétine, s'oppose à la reproduction de l'ADN et cause des malformations prénatales. (10)

Étant donné l'absence d'un couple d'enzymes clefs, les humains sont beaucoup plus sensibles aux effets toxiques du méthanol que les animaux. Par conséquent, des tests d'aspartame ou de méthanol sur des animaux ne reflètent pas précisément les dangers encourus par les humains. Ainsi que le souligne le Dr Woodrow C. Monte, Directeur du Food Science and Nutrition Laboratory à l'Université de l'État de l'Arizona, "Il n'existe aucune étude sur les humains ou les mammifères pour évaluer les effets mutagène, tératogène ou cancérigène possibles conséquentes à l'administration chronique de l'alcool de méthyle." (11)

Il se sentit tellement concerné en voyant les conclusions sur la sécurité demeurer sans solutions qu'il adressa une requête à la FDA réclamant une audition afin de discuter de ces résultats. Il demanda à la FDA de "ralentir la publication des conclusions concernant les boissons sucrées assez longtemps afin qu'il soit répondu à quelques unes des questions essentielles. Il n'est pas juste que vous laissiez tout le poids de l'authentification sur le petit nombre que nous représentons alors que nous possédons des ressources tellement limitées. Vous ne devez pas oublier que vous êtes l'ultime défense du public américain. Une fois que vous en aurez autorisé l'usage (de l'aspartame), il n'y aura littéralement plus rien que moi ou mes collègues ne pourrons faire pour inverser le processus. L'aspartame rejoindra alors la saccharine, les agents sulfites et Dieu sait encore combien d'autres composants contestables prescrits pour insulter la constitution humaine avec l'approbation du gouvernement." (10) Peu de temps après, le commissaire à la FDA, Arthur Hull Hayes, Jr. approuva l'utilisation de l'aspartame dans les boissons gazeuses, puis il fut engagé par une société de relations publiques de la G.D. Searle. (11)

Il a été souligné que certains des jus de fruits et des boissons alcoolisées contiennent de petites quantités de méthanol. Il est important de se rappeler, cependant, que le méthanol n'apparaît jamais seul. Dans tous les cas, l'éthanol est présent, usuellement en plus grandes quantités. L'éthanol est un antidote à la toxicité du méthanol chez l'homme. (9) Les hommes des troupes de l'opération "Desert Storm" (guerre du Golfe) furent "régalées" avec de grandes quantités de boissons édulcorées à l'aspartame qui avaient été chauffées à plus de 30° centigrades par le soleil de l'Arabie Saoudite. Beaucoup d'entre eux en revinrent avec de nombreux désordres similaires à ceux trouvés chez des individus qui avaient été chimiquement empoisonnés par le formaldéhyde. Le méthanol libre dans ces breuvages peut avoir été un facteur contribuant à ces maladies. D'autres produits dérivés de l'aspartame tel que le DKP (voir ci-dessus) peut également avoir été un facteur. En 1993, dans un acte qui peut être décrit comme "inconscient", le FDA approuva l'aspartame comme ingrédient dans un certain nombre d'articles d'alimentaires qui seraient toujours chauffés au-dessus de 30° centigrades.

DIKETOPIPERAZINE (DKP) La DKP est un produit dérivé du métabolisme de l'aspartame. La DKP a été impliquée dans l'apparition de tumeurs au cerveau. Olney a remarqué que la DKP, lorsqu'elle était nitroazotée dans l'intestin, produisait un composant qui était similaire au N-nitrosourea, un composant chimique puissant causant des tumeurs au cerveau. Certains auteurs ont dit que la DKP est produite après ingestion de l'aspartame. Je ne suis pas sûr que ce soit correct. Il est définitivement vrai que la DKP est formée dans des produits liquides contenant de l'aspartame au cours d'un stockage prolongé.

G.D. Searle a conduit une expérimentation sur des animaux pour vérifier la sûreté de la DKP. La FDA releva un certain nombre d'erreurs, y compris "des erreurs d'écriture, d'animaux mélangés, d'animaux à qui on n'administrait pas la drogue qu'ils étaient supposés prendre, de perte de spécimens pathologiques due à une mauvaise manipulation" et de nombreuses autres erreurs. (12) Ces procédures de laboratoires négligentes peuvent expliquer pourquoi et les animaux de test et ceux de contrôle avaient seize fois plus de tumeurs au cerveau que le nombre auquel on pourrait s'attendre au cours d'expérimentations de cette longueur.

Par un tour du sort, très peu de temps après la découverte de ces erreurs d'expérimentation, la FDA utilisa des protocoles recommandés par G.D. Searle pour développer les standards industriels de la FDA pour les pratiques des laboratoires alimentaires. (11) La DKP a également été impliquée comme ayant causé des polypes utérins et des modifications du taux de cholestérol par le Dr Jacqueline Verrett, toxicologue de la FDA, dans sa déposition devant le Sénat des États-Unis. (13)

ALIMENTS RÉSULTANT DE L'ASPARTAME Les composants de l'aspartame peuvent conduire à une large variété de maladies. Quelques unes apparaissent graduellement, d'autres sont immédiates, avec des réactions aiguës.

Il y a une énorme population d'individus qui souffrent de symptômes attribués à l'aspartame et cependant ils ne comprennent pas pourquoi les plantes ou les médicaments ne parviennent pas à les soulager de leurs problèmes. Il y a d'autres utilisateurs d'aspartame qui paraissent ne pas souffrir de réactions immédiates à l'aspartame. Mais même ces individus sont susceptibles à long terme de souffrir des dommages causés par les acides aminés excitateurs, la phénylalanine, le méthanol et la DKP. Quelques uns des nombreux désordres qui m'inquiètent particulièrement incluent les suivants.

Malformations prénatales
Le Dr Diana Dow Edwards, un chercheur, fut commandité par Monsanto afin d'étudier les possibilités de malformations prénatales causées par l'ingestion d'aspartame. Après qu'une information préliminaire ait fait état d'informations négatives au sujet de l'aspartame, les fonds alloués à la recherche furent retirés. Un pédiatre génétique à Emory University a attesté que l'aspartame causait des malformations prénatales. 7360-367

Dans le livre "While Waiting" (En attendant) : un guide prénatal de George R. Verrilli, M.D. et Anne Marie Mueser, il est fait état que l'aspartame est suspecté de causer des dommages au cerveau des individus sensibles. Ces effets peuvent faire courir un risque à un f¦tus. Des chercheurs ont suggéré que de grandes doses d'aspartame peuvent être associées à des problèmes allant d'étourdissements et de modifications subtiles du cerveau à des retards mentaux.

Cancer (Cancer du cerveau)
En 1981, Satya Dubey, un statisticien du FDA, déclara que l'information concernant l'aspartame et les tumeurs au cerveau était si "préoccupante" qu'il pourrait ne pas recommander l'autorisation du NutraSweet. (14) Au cours d'une étude sur deux années conduite par le fabricant de l'aspartame, douze des 320 rats nourris normalement et à l'aspartame développèrent des tumeurs au cerveau alors qu'aucun des rats de contrôle n'eurent de tumeurs. Cinq des douze tumeurs furent trouvées sur des rats nourris avec de faibles doses d'aspartame. (15) L'autorisation de l'aspartame fut une violation de l'amendement Delaney qui était supposé prémunir contre l'entrée dans notre alimentation de substances cancérigènes tel que le méthanol (formaldéhyde) et la DKP. Feu le Dr Adrian Gross, un toxicologue de la FDA, attesta devant le Congrès américain que l'aspartame était capable de produire des tumeurs au cerveau. Il devint illégal pour la FDA d'en permettre une prise quotidienne, quelqu'en soit la dose. Il établit dans sa déposition que les études de la Searle étaient "dans une large mesure, sujet à caution" et que "au moins, une de ces études avait établi au-delà de tout doute raisonnable que l'aspartame est capable d'induire des tumeurs au cerveau des animaux d'expérience..." Il conclut sa déposition en demandant, "Quelle peut être la raison de l'apparent refus de la FDA d'invoquer pour cet additif alimentaire le bien-nommé amendement Delaney sur la loi concernant l'alimentation, les médicaments et les cosmétiques ?... Et si la FDA elle-même décide de violer la loi, que reste-t-il pour protéger la santé du public ?" (16)

Au cours des années 70, on découvrit que le fabricant de l'aspartame avait falsifié des études de plusieurs façons. Une des techniques utilisées était de supprimer les tumeurs apparues sur les animaux soumis aux tests et de les remettre en circulation dans le groupe d'étude. Une autre technique employée pour falsifier ces études étaient de faire figurer sur les listes, des animaux morts comme ayant survécu aux tests. Ainsi, l'information concernant les tumeurs du cerveau était encore pire qu'on aurait pu le croire précédemment. De plus, un ancien employé du fabricant de l'aspartame, Raymond Schroeder, informa la DPA le 13 juillet 1977 que les particules de DKP étaient en si grandes quantités que les rats pouvaient faire la différence entre le DKP et leur alimentation normale. (12)

Il est intéressant de noter que l'indice des tumeurs au cerveau chez les personnes de plus de 65 ans s'est accrue de 67% entre les années 1973 et 1990. Les tumeurs au cerveau dans les groupes de tous âges se sont accrues de 10%. La croissance la plus importante s'opéra au cours des années 1985-1987. (17)

Dans cet ouvrage "Aspartame (NutraSweet). Est-ce sain ?", Roberts apporte des évidences que l'aspartame peut causer une forme particulièrement dangereuse de cancer : le lymphome primaire du cerveau.

Les diabètes
L'American Diabetes Association (ADA) recommande actuellement ce poison chimique à des personnes souffrant du diabète. Selon la recherche menée par H.J. Roberts, diabétologue, membre de l'ADA et faisant autorité dans l'étude des édulcorants artificiels, l'aspartame :
1) conduit à une accélération des diabètes cliniques.
2) est la cause d'une difficulté de contrôle du diabète chez les diabétiques insulino-dépendants ou traités par voie orale.
3) conduit à l'aggravation des complications du diabète telle que la rétinopathie, les cataractes, la neuropathie et la gastroparésie.
4) cause des convulsions.

Dans une déclaration concernant l'utilisation des produits contenant de l'aspartame par des personnes souffrant de diabète et d'hypoglycémie, Robert dit : "Malheureusement, bon nombre de mes patients habituels et d'autres vus en consultation, développent de sérieuses complications métaboliques, neurologiques et autres qui pourraient être spécifiquement attribuées à l'usage des produits contenant de l'aspartame. Ceci fut mis en évidence par : la perte du contrôle du diabète, l'intensification de l'hypoglycémie, l'apparition de soit-disantes "réactions à l'insuline" (y compris des convulsions) qui en fait furent reconnues comme des réactions à l'aspartame et la précipitation, l'aggravation ou la simulation de complications diabétiques (spécialement une diminution de la vue et de la neuropathie) pendant l'utilisation de ces produits."
"Une amélioration frappante de ces symptômes se révéla après l'éviction de l'aspartame et la prompte et prévisible récurrence de ces problèmes lorsque le patient reprenait des produits à l'aspartame, consciemment ou par inadvertance."
Roberts poursuit ainsi :
"Je regrette la défaillance des autres docteurs et de l'American Diabetes Association (ADA) à émettre les avertissements appropriés aux patients et aux utilisateurs basés sur ces découvertes répétées qui ont été décrites dans mes études corporatives neutres et mes publications."

Baylock déclara que des excitotoxines telles que celles trouvées dans l'aspartame peuvent accélérer le diabète chez des sujets qui sont génétiquement susceptibles de souffrir de cette maladie. (5)

Désordres émotionnels
Une étude en double aveugle sur les effets de l'aspartame sur des sujets souffrant de désordres émotionnels fut récemment menée par le Dr Ralph G. Walton. Étant donné que l'étude ne fut pas commanditée/contrôlée par les fabricants d'aspartame, la compagnie NutraSweet refusa de lui vendre de l'aspartame. Walton fut obligé de s'en procurer et de le faire certifier par une source extérieure.
L'étude démontra une croissance importante de graves symptômes chez les personnes prenant de l'aspartame. Certains de ces symptômes étaient si graves que l'Institutional Review Bord se trouva dans l'obligation d'arrêter l'étude. Trois des participants avaient dit qu'ils avaient été "empoisonnés" par l'aspartame. Walton conclut que "des individus sujets à des désordres émotionnels sont particulièrement sensibles à cet édulcorant artificiel; son utilisation par cette population devrait être découragée." (18) Conscient que l'expérimentation ne pourrait pas être répétée compte tenu du danger encouru par les sujets soumis aux tests, Walton fut cité récemment comme disant : "Je sais que cela provoque des crises d'apoplexie. Je suis convaincu également que cela provoque avec certitude des modifications comportementales. Je suis très en colère de voir cette substance sur le marché. Je mets personnellement en cause la validité et la véracité de n'importe laquelle des études commanditées par NutraSweet Company." (19)

Il est fait état de nombreux cas de faibles niveaux de sérotonine cervicale, de dépressions et autres désordres émotionnels qui ont été reliés à l'aspartame et sont souvent soulagés en arrêtant la prise d'aspartame. Des chercheurs ont souligné que l'accroissement des niveaux de phénylalanine dans le cerveau, qui peut arriver et arrive chez des sujets ne souffrant pas de PKU, provoque un abaissement du niveau du neuro-transmetteur, la sérotonine, qui mène à une variété de désordres émotionnels. Le Dr William M. Pardrige de l'UCLA attesta devant le Sénat américain qu'un adolescent buvant quatre bouteilles de 16 onces (487 grs) de soda allégé par jour provoque une élévation énorme du niveau de phénylalanine.

Épilepsie/Apoplexie
Avec le nombre important et croissant d'apoplexies causées par l'aspartame, il est triste de constater que l'Epilepsy Foundation fait la promotion de la "sécurité" de l'aspartame. Au Massachusetts Institute of Technology (MIT), 80 personnes qui avaient souffert de crises d'apoplexie après ingestion d'aspartame avaient été mises en observation. Le Community Nutrition Institute apporta les conclusions suivantes de cette observation :
"Les 80 cas correspondent à la propre définition du FDA d'un risque imminent encouru par la santé publique et qui entraîne le retrait expéditif d'un produit de la part de la FDA."

Le magazine de l'Air Force "Flying Safety" et celui de la Navy "Navy Physiology" ont publié des articles mettant en garde contre les nombreux dangers de l'aspartame incluant les effets délétères cumulatifs du méthanol et la plus grande éventualité de malformations prénatales. Les articles notaient que l'ingestion de l'aspartame pouvaient rendre les pilotes plus susceptibles à des crises d'apoplexie et de vertige. Vingt articles émettant des avertissements au sujet de l'ingestion d'aspartame pendant un vol ont pu être lus dans le National Business Aircraft Association Digest (NBAA Digest 1993), Aviation Medical Bulletin (1988), The Aviation Consumer (1988), Canadian General Aviation News (1990), Pacific Flyer (1988), General Aviation News (1989), Aviation Safety Digest (1989) et Plane & Pilot (1990) et un article prévenant contre l'aspartame fut présenté au 57ème Meeting Annuel de l'Aerospace Medical Association (Gaffney 1986).

Récemment, une hot-line fut mise en place pour répondre aux pilotes souffrant de réactions aiguës à l'ingestion d'aspartame. Plus de 600 pilotes ont déclaré avoir eu des symptômes incluant ceux qui ont établi un rapport concernant des crises d'épilepsie dans leur cockpit dues à l'aspartame. (21)

Une des premières études sur l'aspartame fut réalisée en 1969 par un scientifique indépendant, le Dr. Harry Waisman. Il étudia les effets de l'aspartame sur des bébés primates. Sur les sept bébés singes, l'un mourut au bout de 300 jours et cinq autres eurent des crises d'épilepsie. Bien entendu, ces découvertes négatives ne furent pas soumises à la FDA au cours de la procédure d'approbation. (22)

Pourquoi n'entendons-nous pas parler de ces choses-là ?
La raison pour laquelle les gens n'entendent pas parler des sérieuses réactions à l'aspartame est double :
1) Manque d'information de la population générale. Il n'est pas fait mention dans les journaux des maladies causées par l'aspartame comme le sont les accidents d'avion. Ceci parce que ces incident arrivent isolément dans des milliers d'endroits différents des États-Unis.
2) La plupart des gens n'associent pas leur symptômes à un emploi à long terme de l'aspartame. Pour les gens qui ont détruit un pourcentage significatif de cellules du cerveau et ainsi causé une maladie chronique, il ne leur est pas possible de pouvoir normalement associer cette maladie à la consommation d'aspartame. Comment l'aspartame a été approuvé est une leçon démontrant comment les industries chimiques et pharmaceutiques peuvent manipuler les agences du gouvernement telle que la FDA, les organisations "corrompues" telle que l'American Dietetic Association et le flot de la communauté scientifique avec des études défectueuses et frauduleuses soutenues par les industriels, commanditées par les fabricants d'aspartame.

Erik Millstone, un chercheur au Science Policy Research de l'Université du Sussex a compilé des milliers de pages d'évidences, certaines ayant été obtenues par l'usage de la loi 23 sur la liberté de l'information, démontrant que :
1. des tests en laboratoires étaient falsifiés et les dangers dissimulés.
2. des tumeurs furent ôtées d'animaux et des animaux qui étaient morts "furent ressuscités" dans les rapports de laboratoire.
3. des déclarations fausses et trompeuses ont été faites à la FDA.
4. les deux juges d'instruction fédéraux missionnés pour réunir des charges de fraudes contre le fabricant d'aspartame furent engagés par le cabinet d'avocat du fabricant, laissant dépasser le terme du délai légal de prescription.
5. le Commissaire de la FDA ne tint pas compte des objections émises par le propre bureau d'investigation de la FDA. Peu de temps après cette décision, il accepta un poste chez Burson-Marsteller, la société chargée des relations publiques de G.D. Searle.

Une commission d'enquête publique (Public Board of Inquiry, PBOI) fut mise en place en 1980. Elle comprenait trois scientifiques qui étudièrent les objections d'Olney et Turner contre l'autorisation de l'aspartame. Ils votèrent unanimement contre l'approbation de l'aspartame. Le Commissaire de la FDA, le Dr Arthur Hull Hayes, Jr. nomma alors une commission scientifique de 5 personnes pour étudier les découvertes de la PBOI. Après qu'il fut clair que la commission confirmerait la décision de la PBOI par un vote de 3 contre 2, une autre personne fut adjointe à la commission, créant un vote de verrouillage. Ceci permit au Commissaire de la FDA de briser le verrouillage et d'approuver l'aspartame pour les alimentations sèches en 1981. Le Dr Jacqueline Verrett, doyenne scientifique d'une commission d'étude d'un Bureau of Foods de la FDA mise en place en août 1977 afin d'étudier le rapport Bressler (un rapport qui détaillait les abus de la G.D. Searle au cours des tests probatoires) explique :
"Il était particulièrement évident que quelque part au long de la chaîne, les officiels du bureau travaillaient à un blanchiment." En 1987, Verrett déposa devant le Sénat des États-Unis, déclarant que les expérimentations menées par Searle étaient "désastreuses". Elle déclara que son équipe fut instruite de ne pas commenter ou se préoccuper de la globalité de la validité des études. Elle déclara qu'il n'avait pas été répondu à des questions concernant les malformations prénatales. Elle poursuivit sa déposition en exposant le fait qu'il avait été démontré que la DKP accroissait la formation de polypes utérins et du taux de cholestérol dans le sang et que l'augmentation de la température du produit mène à un accroissement de la production de la DKP. (13)

Les "portes tournantes"
La FDA et les fabricants d'aspartame eurent un mouvement de personnel important pendant de nombreuses années. A part le Commissaire de la FDA et les deux juges d'instruction fédéraux démissionnant pour être engagés par des sociétés en relation avec G.D. Searle, quatre autres officiels de la FDA en relation avec l'approbation de l'aspartame acceptèrent des emplois en relation avec l'industrie du NutraSweet entre 1979 et 1982, y compris le Commissaire Délégué de la FDA, l'Assistant Spécial au Commissaire de la FDA, le Directeur adjoint du Bureau of Foods and Toxicology et le Procureur impliqué dans le Bureau d'Enquête Publique (Public Board of Inquiry). (24)

Il est important de réaliser que ce type d'activité de "portes tournantes" s'est déroulée pendant des décennies. La Townsend Letter for Doctors (11/92) rend compte d'une étude révélant que 37 des 49 officiels les plus importants de la FDA acceptèrent des postes dans des compagnies qu'ils avaient ordonnancées. Elle rendit également compte que plus de 150 officiels de la FDA possédaient des actions de compagnies qu'ils avaient sous surveillance. De nombreuses organisations et universités reçurent des sommes très importantes de compagnies connectées à la NutraSweet Association, un groupe de compagnies promouvant l'utilisation de l'aspartame. En janvier 1993, l'American Dietetic Association reçu un don de 75 000 US$ de la NutraSweet Company. L'American Dietetic Association a déclaré que la NutraSweet Company rédigeait ses pages intitulées "Des Faits". (25)

De nombreuses autres organisations et chercheurs "indépendants" reçoivent des sommes importantes des fabricants d'aspartame. L'American Diabetes Association a reçu un montant très important de NutraSweet, comprenant une somme pour le fonctionnement d'une école culinaire à Chicago (vraisemblablement pour apprendre aux diabétiques comment utiliser NutraSweet dans leur cuisine).

Un chercheur de Nouvelle-Angleterre qui avait souligné les dangers de l'aspartame par le passé se trouve actuellement consultant chez Monsanto. Un autre chercheur du sud-est des USA avait témoigné des dangers de l'aspartame pour les f¦tus. Un journaliste d'investigation a découvert qu'il lui avait été demandé de "la fermer" afin d'éviter la perte d'un don important en provenance d'un fabricant de cola diététique appartenant à la NutraSweet Association.

Que fait la FDA pour protéger le consommateur des dangers de l'aspartame ?

Moins que rien.

En 1992, la FDA autorisa l'utilisation de l'aspartame dans les boissons maltées, les céréales pour petit déjeuner et les garnitures et gâteaux glacés. En 1993, la FDA autorisa l'utilisation de l'aspartame dans les bonbons durs et mous, les boissons non-alcoolisées en vogue, les boissons au thé, les jus de fruits et les concentrés, les viennoiseries et les préparations à pâtisserie, les gelées, les crèmes et nappages pour les pâtisseries.

En 1991, la FDA interdit l'importation de Stevia. La poudre de cette feuille a été utilisée pendant des centaines d'années comme édulcorant. Elle est largement utilisée au Japon sans aucun effet contraire. Des scientifiques engagés pour étudier la stevia l'ont déclarée propre à la consommation humaine, ce qui a été tout à fait reconnu dans de nombreuses régions du monde où elle n'est pas interdite. Toutes les personnes à qui j'ai parlé de cette question croient que la stevia a été interdite afin qu'elle ne puisse s'implanter aux USA et réduire ainsi les ventes de l'aspartame. (26)

Que fait le Congrès américain pour protéger le consommateur des dangers de l'aspartame ?
Rien.

Que fait l'Administration américaine (Président) pour protéger le consommateur des dangers de l'aspartame ?
Rien.

La consommation d'aspartame n'est pas seulement un problème aux USA. Il est en vente dans plus de 70 pays dans le monde.

L'ASPARTAME PEUT ÊTRE TROUVÉ DANS :
- les petits-déjeuners instantanés
- les rafraîchisseurs d'haleine
- les céréales
- les chewing-gums sans sucre
- les mélanges cacaotés
- les boissons au café
- les desserts réfrigérés
- les desserts gélatineux
- les boissons à base de jus de fruits
- les laxatifs
- les multivitamines
- les boissons lactées
- les médicaments et suppléments nutritifs
- les mélanges mixés
- les boissons non alcoolisées
- les édulcorants de table
- les boissons au thé
- les thés et cafés instantanés
- les mousses et crèmes décoratives
- les glaçages
- les yaourts


Il m'a été dit que de l'aspartame a été trouvé dans des produits alors qu'il n'était pas mentionné sur la liste des ingrédients figurant sur l'emballage. On doit faire particulièrement attention aux produits pharmaceutiques et aux suppléments nutritionnels. J'ai été informé que même quelques suppléments fabriqués par des fabricants connus tel que Twinlabs contiennent de l'aspartame.

L'information présente n'est que le sommet de l'iceberg en tant qu'information négative concernant l'aspartame. Afin que le lecteur puisse obtenir de plus amples informations, j'ai inclus quelques sources ci-après.

OUVRAGES
*Blaylock, Russell L., Excitotoxins : The Taste That Kills (Health Press, Santa Fe, New Mexico, ¦1994). Un des meilleurs ouvrages disponibles sur les excitotoxines. Vaut le coup d'être lu !
*H.J. Roberts, M.D., Aspartame (NutraSweet), Is it Safe ? Disponible par le réseau de l'Aspartame Consumer Safety.
*Sweet'ner Dearest, disponible par le réseau de l'Aspartame Consumer Safety.
*Mary Nash Stoddard, The Deadly Deception, disponible par le réseau de l'Aspartame Consumer Safety.
*Barbara Mullarkey, Editeur, Bittersweet Aspartame - A Diet Delusion, disponible par le réseau de l'Aspartame Consumer Safety.
*The Aspartame Consumer Safety Network, The Aspartame consumer Safety Network Synopsis.
*Dennis Remington, M.D. et Barbara Huga, R.D., The Bitter Truth About Artificial Sweetners, disponible par le réseau de l'Aspartame Consumer Safety.

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